Essai | L'avenir de la vie, de Michel Salomon (avec des pages scannées de l'édition originale comportant l'entretien avec Jacques Attali )

Publié le 5 Juin 2023

MAJ 5 juin 2023

Pour faire suite aux remarques faites précédemment à propos du thème du « cannibalisme » très souvent traité par cet auteur, je vous relaye une vidéo de l'année... 1975

Le cannibalisme est une obsession de longue date, chez ce malfaisant

Une vidéo datant de 1975 est là pour appuyer ce que je dis :

Clic-image pour accéder à la vidéo
MAJ 22 octobre 2022

Ayant croisé récemment le chemin d'une vidéo sur le sujet, je remonte mon article. 

MAJ 30 Août 2021

Affaire classée

MAJ du 19 août 

 

Ajout d'un PDF trouvé récemment (dommage que la personne n'ait pas pensé à scanner la date du dépôt légal).

Ce grand donneur de conseils est aussi un grand plagiaire
Pour remettre un peu d'ordre (mais pas que) dans ce qu'on peut lire ici et là au sujet d'un entretien donné par Jacques Attali à Michel Salomon dans le livre L'avenir de la vie, publié en 1981. 

 

“A l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides.

Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra (sera) être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. On ne pourra bien sûr par exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux.

En effet, du point de vue de la société, Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien !

Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités.
Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir.”

Si quelqu'un peut m'apporter la preuve (scan des pages concernées + celle du dépôt légal) que les mots que j'ai barrés ont été réellement écrits dans la première édition du livre L'avenir de la vie de Michel Salomon, alors je ferai le correctif de la présente page Internet, avec mes excuses les plus plates en tête. En attendant, il parait que la seconde édition a été expurgée des passages gênants ; fait troublant : impossible de mettre la main sur un volume d'occasion de l'édition d'origine, qui ne date pourtant que de 1981... Même à un prix astronomique comme on le remarque souvent sur Amazon ; rien, nada, que dalle, zéro de chez zéro, nib ! Curieux, non ?

 

N'allez pas imaginer que je suis une admiratrice de cet imposteur, parce qu'Attali, je ne l'encadre pas. Lui, et ses propos de dingo, comme son absence d'empathie pour l'humanité. Attali, c'est une sorte de monstre à visage presque humain. Mais je n'encadre pas non plus la falsification. Comme c'est le cas, démontré en préambule.

Je ne dis pas qu'on ne peut pas se tromper, ça arrive. Dans ce cas, on le fait savoir, on corrige, et on s'excuse. Mais relayer une telle information sans l'avoir sérieusement vérifiée, (je mets ce blog en lien, mais ils sont plusieurs a avoir relayé la même chose), même en mettant des gants pour se planquer, au cas où... (je parle de l'usage du conditionnel, parce qu'à ce compte-là, on peut dire tout et n'importe quoi), c'est carrément pas possible. Ce genre de démarche ne sert ni la vérité ni la lumière ; pire, quand on est dans cette posture morale, au lieu de s'élever intellectuellement, on ne fait que se rabaisser. Et pire que pire : ça sert l'ennemi. Imaginez sa jubilation, à ce tricheur en chef, procédurier comme pas deux.  

Déformer la vérité fait énormément de tort au camp de la réinformation. De plus, dans le cadre d'une citation, il est honteux de ne pas faire un minimum de recherches, juste pour s'assurer qu'on va bien publier la bonne citation. Je vais être méchante : tenir un blog, c'est pas pour les feignasses. Se documenter correctement prend du temps, et ça peut être chiant. C'est dit.

Pour pouvoir commencer à écrire cet article, il a d'abord fallu que je cherche sur quoi m'appuyer. De la matière. Des preuves. Après deux ou trois heures à tricoter des mots-clé, je suis arrivée à trouver un blogueur qui avait eu la bonne idée de scanner quelques pages du livre en question ; rétroactivement, qu'il en soit chaleureusement remercié. Ces pages, je vous les mets en partage ici (pas de mot de passe, et c'est entièrement gratuit).

Pour une meilleure compréhension du texte, il serait bon que vous vous référiez aux pages entières. J'ai souligné les passages qui m'ont interpellée. C'est ma vision. Il y a des chances pour que la vôtre soit différente. Encore un point : si vous ne comprenez pas l'ensemble du charabia attalien, c'est normal, il écrit comme il pense, c'est-à-dire : comme un pied.

 

La civilisation religieuse est une mise en scène du cannibalisme.... sans déconner ? Ne manquez pas de lire l'article : « Attali ou la France pour les Nuls » de Guillebon, que je vous relaye un peu plus bas. Il nous aide à comprendre combien ce petit môssieur aime la France et les Français. Ça vaut son pesant de pantalons à trois jambes.

 

 

Rien que dans ce court paragraphe, le mot "cannibale" et ses dérivés sont martelés quatre fois. On peut voir ça comme de la suggestion cognitive. Notez ce fait, le thème est récurrent chez les gens de son monde.

« Bien que les masses ne participent pas encore au cannibalisme pur et simple comme à l’époque déchue de la Babylonie, cette injection de « vaccins » contenant des cellules fœtales et l’offrande de chair de nos propres enfants, est tout simplement du cannibalisme avec une touche high-tech. » Sandra Archibald 

Sandra Archibald ne parle pas à la légère. Il y a réellement des cellules de foetus avortés dans les vaccins. La preuve dans cette vidéo, où le docteur Plotkin, le "parrain" des vaccins confirme le fait lors de son audition. Parfaitement sordide. Parfaitement inhumain.

Les satanistes dévorent littéralement leurs victimes. Et quand monsieur Attali dit que : « la ritualisation chrétienne est fondamentalement cannibale. » Voyez en ces propos une inversion accusatoire. Les fameuses "élites", dont fait partie Attali sont des infréquentables, voir iciThe Vigilant Citizen parle même d'un « agenda ». Et là, ce ne sont que deux aperçus ; creusez la question, vous irez de surprise en surprise.

 

 

Et la quatrième période, ça sera quoi ? L'élimination pure et simple ? Clairement, nous sommes trop nombreux, et les riches plus que riches, trop heureux d'avoir aujourd'hui le plein accès à l'I.A., n'ont plus besoin de nous ; trop de bouches à nourrir. Avec ce qui se profile à l'horizon provoqué par la crise du Covid, l'édification des Georgia Guidestones trouve tout son sens.

 

 

C'est le credo de tous les globalistes. Aldous Huxley a émis l'idée avant lui (J'en arrive à me demander si Attali arrive à penser par lui-même)

 

C'est-à-dire que chez ces gens-là, rien n'est sacré ; pour eux, l'avortement à neuf mois est un acte normal, les vieux sont bons à êtres liquidés ; bref, tout, absolument tout est à bazarder. Sauf le pognon.

« La charité n'est qu'une forme de dénonciation. » J. Attali, L'Avenir de la vie. p. 268

« c'est de cette distorsion que naîtra le grand chaos qui pourra se traduire soit par des guerres raciales, des conquêtes, soit par l'immigration sur nos contrées de millions de personnes qui voudront partager notre mode vie. » J. Attali, L'Avenir de la vie. p. 272

Qu'est-ce qu'il en sait lui, de la charité ? Rien. Avec ce genre de bonhomme, on est a l'extrême opposé de la chrétienté. Attali et ses potes nous haïssent.  Ils ne trouveront pas le repos tant qu'ils n'auront pas détruit tout ce qui n'est pas eux. Les vidéos où s'exprime leur haine sont légion. Les visages de leur destruction sont multiples : métissage, guerres civiles, pour n'en citer que deux facettes. Que chacun fasse ses recherches. Le livre est une arme contre l'ignorance et la manipulation, et, que je sache, il est encore permis de lire

©Marguerite Rothe

Mais j'en ai pas terminé, avec le plagiaire-immigrationiste-va-t-en-guerre Jacques Attali, le gars qui tape l'incruste au coeur du pouvoir français depuis quarante ans.
Il conseille quoi ? Rien, il manipule.

 

Donc, quand il ne manipule pas, il vole le travail de son prochain : il plagie :

L’Humanité 1993 : 

https://www.humanite.fr/node/56494

Agora Vox  2006 : 

https://www.agoravox.fr/commentaire229608

Sous les Pavés, les Plagiaires : Bibliobs 2007 :

 https://archive.ph/DxmyN

Terra Femina 2015 : 

https://www.terrafemina.com/culture/medias/articles/54696-goldman-les-enfoires-attali-et-son-plagiat-quand-le-boss-tacle-lancien-conseiller-de-francois-mitterrand.html

ATTALI OU LA FRANCE POUR LES NULS. MÊME PLUS PLAGIAIRE, FAUSSAIRE !

(Les mises en gras sont de mon fait. M.R.)

Jacques Attali, sinistre technocrate au pouvoir depuis trente ans, insignifiant esprit qui dispute à quelques autres l’honneur de ridiculiser à tout jamais le concept d’intellectuel français, aussi méprisé du bas-peuple dont je m’enorgueillis de faire partie qu’il est révéré des puissants, a eu chez Ruth Elkrief ce dernier trait qui signe sa définitive cacochymie : « La France n’est pas spécialement chrétienne. »

Comme je suis catholique, on m’accusera bien entendu d’être en la matière juge et partie, mais qu’on veuille noter cette remarque d’abord : si j’étais Irakien chrétien ou juif ou zoroastrien, je crois bien qu’il ne me passerait jamais par la tête d’affirmer l’œil clignotant : « L’Irak n’est pas spécialement musulman. » On veut bien admettre que la République française se soit bâtie pour partie contre le pouvoir de l’Église, avec qui elle avait des comptes à régler. On veut bien qu’elle ait mis sur pied certaine laïcité qui visait à rendre l’Etat religieusement neutre. Mais le révisionnisme historique doit, par décence, respecter quelques limites. Il y a des barrières que l’intelligence ne franchit pas, dès lors qu’elle a quelque culture à quoi s’abreuver, dès lors qu’elle dispose de quelque science à quoi se nourrir. Cela qui fait défaut à notre bon maître Attali qui va, paterne, son chemin de réinvention et de reconstruction de l’histoire de France.

Le président de la Commission pour la libération de la croissance française joue avec la vérité comme mes enfants aux Legos un mercredi après-midi d’hiver : il invente son roman national selon ses humeurs, et il bâtit sa tour en interchangeant les événements du passé, s’il veut et quand il veut. Car il poursuit, après son affirmative insolence, sous le regard crépitant d’admiration de dame Elkrief : « La France a été juive avant d’être chrétienne, certaines régions de France ont été musulmanes avant d’être chrétiennes. » Si sa première proposition est fausse, elle l’est un peu moins que la seconde : il est permis de dire qu’il y eut des juifs en « France », c’est-à-dire en Gaule romaine, avant qu’il y eut des chrétiens, pour la bonne raison que ceux-ci n’existaient pas entre 52 avant le rabbi crucifié et 35 après lui (à la louche). De là à extrapoler que ces juifs-là de cette époque-là, sans doute assez peu nombreux, aient durablement marqué la physionomie de ce qui deviendra la France, il y a une aventure que seul Attali, érudit comme un Mommsen du XXIe siècle, dépoussiéreur de parchemins averti, féru d’inscriptions antiques et archéologue confirmé, est en mesure de vivre. Nous ne l’y suivrons pas.

Mais c’est quand notre benêt œcuménique franchit le second pas que la conscience se révolte, à moins que ce soit la rate qui se dilate, ou la glande hesselienne qui s’indigne : certaines régions de France auraient été islamisées avant que le moindre chrétien d’importance y pose le pied. On voit à quoi l’énarco-normalien fait allusion, on conçoit quel paralogisme a pu sourdre de la brumeuse cuisine qu’est ce crâne où ronfle à petits bouillons sans trêve son intelligence : il y a eu une conquête musulmane, venue d’Afrique du Nord, aux alentours des VIIIe et IXe siècles qui, dans sa lancée ibérique, même arrêtée par Charles Martel (on ne sait pas s’il a existé celui-là, mais simplifions), a tenu longtemps quelques territoires qui avaient été gaulois puis romains, puis ostrogoths et wisigoths, puis francs avant que d’être français un jour : la Narbonnaise, Orange, Arles, le Var, etc.

Jacques Attali, qui a trop de choses à savoir, et à la fin c’est épuisant, c’est pas de sa faute s’il n’a pas pensé à acheter du pain en rentrant, a juste oublié l’espace d’un instant qu’il s’était passé quelques trucs pendant six siècles dans ces lieux, et que même s’il n’était pas né, et Mahomet non plus, on avait déjà inventé les évêques comme Hilaire d’Arles, les anachorètes comme saint Césaire et même saint Tropez pour le cas où Louis de Funès et Brigitte Bardot voudraient y faire un tour 1600 ans plus tard. On avait déniché l’idée des prêtres, des moines et des moniales, c’est même par Marseille qu’Honorat et Jean Cassien introduisirent le monachisme en Occident ; on avait convoqué des conciles locaux et œcuméniques, fulminé contre cent hérésies dont même Alain Juppé ne parviendrait pas à retenir la simple liste, rassemblé des bibliothèques gigantesques et la pourpre de certains empereurs avait bercé l’enfant christianisme pour qu’il grandisse.

À moins que Constantin quand il voulait aller de Rome à l’Ibérie ait systématiquement fait un détour par l’Helvétie pour éviter de tomber sur un minaret entre Marseille et Sète. À moins que Marie-Madeleine n’ait pas été vénérée dans la Sainte-Baume au IVe siècle. À moins qu’Augustin le Berbère ait projeté d’aller évangéliser la Provence aux mains des mahométans. À moins que les Saintes-Marie-de-la-Mer aient été bâties par Viollet-le-Duc au XIXe. À moins qu’il n’y ait pas eu de concile à Arles en 314. À moins qu’il n’y ait jamais eu de cathédrale à Marseille, Avignon, Agde, Narbonne et Carcassonne avant Bernard de Clairvaux. Bref, si Attali nous dégotte les ruines de deux mosquées pour celles de trois mille églises dans la région, je lui tire mon chapeau.

Non, pauvre Jacques, le secret, je vais te le dire : c’est que la France était chrétienne avant qu’elle soit la France et c’est même seulement comme ça qu’elle a pu devenir la France. C’est ça le secret de ses racines chrétiennes et ce n’est pas parce que ton ami Sarkozy qui n’est pas le mien va radotant ce refrain que je vais m’interdire de le penser et de le savoir et de le démontrer. » Jacques de Guillebon

Source (Sauf pour vérifier, ne vous donnez pas la peine de cliquer sur le lien, l'article n'existe plus. Rien de neuf sous le soleil... )

Rédigé par Marguerite Rothe

Publié dans #Enquête

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