Le lanceur d'alerte Andreas Noack a été assassiné pour avoir révélé la présence d'hydroxyde de graphène dans les #voussavezquoi ; une substance qui s'apparente à des lames de rasoir de taille nanométrique

Publié le 22 Février 2024

1ère publication : décembre 2021

Le 18 novembre 2020, le Dr Andreas Noack est interpellé par la police à son domicile, alors qu'il est en direct sur YouTube...

Le 18 novembre 2020, le Dr Andreas Noack est interpellé par la police à son domicile, alors qu'il est en direct sur YouTube. Les internautes assistent ce jour-là à une arrestation d'une grande violence qui n'aurait pas fait honte à celle d'un dangereux terroriste, ou celle d'un affreux maniaque. Le flic qui entre en hurlant dans la pièce mitraillette au  poing est une authentique caricature. On pourrait en rire, si ce n’était pas aussi grave.

Le lendemain, les internautes encore sous le coup de l’émotion, apprennent qu’Andreas Noack aurait été arrêté parce qu’il était supposément coupable d’avoir porté une assistance médicale lors de manifestations anti-confinement. D’autre part, selon les journaux, des rapports indiquent que le Dr Andreas Noack faisait l'objet d'une enquête menée par les autorités pour non-respect des lois de confinement liées à la pandémie du COVID-19 promulguées par le gouvernement allemand.

À ce stade, je me suis dit que quelques recherches s'imposaient, histoire d’y voir un peu plus clair. Je suis tombée sur un obscur site de « Fact Cheking » piloté par un nommé Mathis Merlen (de l’Institut Français de Presse - Master 1 Journalisme)

Citations :

« Alors que son public a cru à une arrestation à cause de son contenu, ou d’autre à un swatting organisé contre lui, la raison de cette intervention est tout autre. L’unité de police déployée sur place travaillait dans le cadre d’une “enquête sur des stupéfiants” explique le média allemand 20 Minunten.

 La police du district de Moyenne-Franconie, concernée par l’affaire, a twitté à ce sujet, expliquant que le streamer n’était pas directement visé.

“L’opération policière n’était pas dirigée contre l’exploitant du #stream. Il n’y a aucun rapport avec le #corona. C’étaient de vrais policiers.”

Le procureur général de Berlin a même déclaré […]

“Le parquet de Berlin ne mènera pas d’enquête contre la personne que vous avez nommée. L’opération de police a eu lieu à l’occasion de mesures d’enquête concernant une autre personne.” »

Circulez, il n'y a rien à voir. Tout ça n'est qu'une « enquête sur des stupéfiants », les policiers – bien réels –, se sont trompés... (!) Ils nous prennent pour des buses. Le gouvernement allemand, et même celui de l’Autriche actuellement, se comportent tous deux comme au pire temps du régime nazi.

Mais c'est un fait, l'Allemagne menace et malmène sa population :

« BERLIN – Le service de renseignement intérieur allemand a déclaré mercredi qu’il allait surveiller les membres d’un mouvement, de plus en plus agressif, niant le coronavirus, car ils présentent un risque d’atteinte à l’État. » 

 Met en place des camps concentrationnaires

Ordonne que les enfants soient séparés de leur famille pour éviter toute propagation du Covid-19. Un virus qui n'a pas d'existence réelle, je vous le rappelle.

L'interpellation datait du mois de novembre 2020. Un an plus tard, Andreas Noack, chimiste de premier plan, fait une vidéo dans laquelle il explique le rôle de ce qu'il appelle : l'hydroxyde de graphène, un matériau découvert récemment dans la composition des vaccins. Au début de l'enregistrement, il parle des travaux du chercheur Pablo Campo, consultables ici ; travaux qui sont en rapport avec le sujet de son exposé.

Selon le Dr Andreas Noack, la présence d'hydroxyde de graphène dans le sang agit comme des « nano-lames de rasoir ». Il précise que ce sont des structures nanométriques qui ne sont pas biodégradables. Voici ce qu'il dit : « Si vous injectez le vaccin dans une veine, les “lames de rasoir” circuleront dans le sang et couperont l'épithélium. »

Il explique également que les toxicologues ne connaissent pas ce nouveau matériau, et que donc, ils ne trouveront rien dans les analyses. « Je ne peux pas imaginer, dit-il, quelqu'un capable de me donner à moi, qui suis spécialiste en carbone, une explication sensée sur la présence de ces nano-lames de rasoir de carbone dans les vaccins. »

Cet homme savait exactement de quoi il parlait. La démonstration de son ultime vidéo est plus que parlante. « Je ne suis pas un gars au hasard dans le domaine du carbone, dit-il, je suis un expert de la chose. Je travaille pour le plus grand producteur du monde de charbon actif. Dans ce domaine des nouveaux produits de carbone, j'étais le seul expert dans toute l'Europe. [...] En tant que chimiste, je me porte garant pour affirmer qu'il s'agit de “ nano-lames de rasoir” »

En ce qui me concerne, le fait que cet homme remarquable et hyper spécialisé a été assassiné ne fait aucun doute. Il n'y a pas de preuve, mais l'excellence du Dr Andreas Noack en est une en elle-même. Il fallait faire taire cet homme, qui risquait de faire foirer le plan des zélites. Un plan à double détente, car ces fameuses zélites ont désormais des milliards de cobayes sous la main pour expérimenter leurs armes biotechnologiques, et ensuite, elles ont la certitude que dans un second temps, elles seront débarrassées d'une grande partie de l'humanité. On peut peut-être même parler de triple détente, puisque dans l'intervalle, elles auront eu l'occasion d'amasser des tonnes et des tonnes de fric. Kary Mullis, prix Nobel et inventeur du test RT-PCR, est, lui aussi, opportunément décédé quelques mois avant le grand pandémonium du Covid. Kary Mullis et tant d'autres. Des hommes et des femmes, chercheurs, scientifiques, enquêteurs de haut niveau. Tous morts au champ d'honneur de la vérité. 

Les salopards qui ont fait ça possèdent des armes qui ne laissent pas de traces, si ce n'est celle de la mort, bien sûr. Des armes d'une très grande sophistication, dont l'individu ordinaire ne soupçonne même pas l'existence. Si vous doutez de cette assertion, visionnez ces trois vidéos sur Rumble (téléchargées l'une derrière l'autre, vous les trouverez facilement.) Toujours un doute ? Alors prenez le temps de lire l'ouvrage de Claire Séverac (elle aussi, morte prématurément d'un cancer foudroyant) : Complot mondial contre la santé, et celui d'Eustace Mullins : Meurtre par injection. La Grosse Pharmacie est la plus grande mafia du monde. La mafia des mafias. Personnellement, je l'associe au pouvoir bancaire. Et, in fine, à Mammon.

Je vous relaye en suivant les vidéos de l'historique de l'affaire Noack. La première (VO) est celle de l'arrestation (2020) ; la seconde, très récente, (en VOSTFR) est l'intervention dans laquelle le Dr Andreas Noack déclare que le graphène trouvé dans les injections contre le Covid est en fait de l'hydroxyde de graphène, et que son action dans le sang déchiquette les parois des veines ; la troisième vidéo (VO) est la première intervention de sa femme Anna, faite trois jours après le décès de son compagnon ; la quatrième (en VO, mais avec possibilité de traduction automatique), mise en ligne sur YouTube à la date du 29 novembre, est la seconde intervention d'Anna, la femme du Dr Andreas Noack, et qui fait un récapitulatif du drame.

©Marguerite Rothe

  • 18 novembre 2020, arrestation du Dr Andreas Noack
  • 23 novembre 2021, publication de la vidéo dans laquelle le Dr Andreas Noack révèle la présence d'Hydroxyde de graphène dans les injections contre le Covid-19
  • 24 novembre, attaque cardiaque d'Andreas Noack
  • 26 novembre, décès du Dr Andreas Noack
  • 27 novembre, première intervention d'Anna, après la mort de son mari Andreas Noack
  • 29 novembre, seconde intervention d'Anna sur YouTube, pour apporter des précisions sur la mort de son compagnon.

Traducteur automatique disponible (résultat pas terrible)

 

https://youtu.be/TbmyGPPZIqY

J'ai trouvé la traduction de la vidéo sur un fil de discussion, je vous la relaie ici :

Frank (Merci, cher internaute !)

À propos de la mort du Docteur décédé le 26 novembre 2021

Bonsoir à tous!

Le témoignage de l’amie de Noak est absolument déchirant et scandaleux, tenez-vous bien c’est tellement triste !!!
Je vais prendre le temps de vous la traduire, pardonnez les fautes de français, je vais essayer de vous la traduire au plus près du texte.

Les réponses de beaucoup de questions que vous vous posez sont contenues dans ce témoignage :

« Ça s’est passé le jour ou la vidéo sur l’hydroxyde de graphène est sortie, donc le jour où nous avons réalisé l’interview avec Harald Tier
Hum — ensuite nous sommes allés en haut sur le galerie, on s’est un peu détendu et on a discuté de façon très normale, nous avons ri, nous nous sommes dit que nous nous aimions et ensuite — (soupir) — ensuite
Il a voulu descendre à la cuisine chercher quelque chose à grignoter, normalement il n’y reste pas plus d’une minute ou qqch dans ce genre —
Alors je suis descendue, et en blaguant je lui ai dit : » mais qu’est-ce que tu fais encore là ?
» Est-ce que tu es en train de tous me manger ? (ce que j’ai comme grignotage)
Et – oui – au même moment, il a commencé à vaciller et je lui ai dit — et j’ai pensé qu’il voulait peut-être se jouer de moi, me prendre de haut, me faire une blague ou quelque chose de ce genre – euh – il avait l’air de quelqu’un qui faisait semblant d’être saoul — et —
(soupir) — alors je me suis approché de lui, je l’ai embrassé et dit ha ha ha !
Mais il ne s’est pas arrêté ! Je lui ai dit que je ne trouvais plus ça amusant, arrête avec ça !
Au même moment il y a eu une panne de courant et tout cela s’est passé dans un laps de temps compris entre 20 et 30 minutes après l’interview
J’ai regardé l’heure — ensuite il est — ensuite Andreas s’est littéralement effondré dans mes bras, il a — il a commencé à râler, à ressentir des douleurs épouvantables, son corps s’est complètement raidit, il n’arrivait à coordonner ses mouvements, d’un seul coup il n’est plus arrivé à parler — J’ ai d’abord pensé qu’il avait peut-être été empoisonné ou qq chose comme ça — il faisait Hummm hummm humm — et alors je lui ai introduit les doigt dans la gorge et il a vomis ce qu’il avait mangé ce jour-là et s’était presque rien, ce n’était pas beaucoup
J’avais moi-même mangé la même chose donc ça ne pouvait pas être un empoisonnement
Je ne pouvais simplement rien faire (j’étais désemparée), j’étais auprès d’Andréas et le regarde se tordre de douleur — (grand soupir) —-
C’était — enfin je n’ai jamais vue quelque chose de la sorte, c’était une torture, comme si l’on n’arrêtait pas de le torturer (
Et cela à durer une demie heure au moins, peut-être plus longtemps, j’ai ressenti ça comme une éternité — ici elle est très très prise par l’émotion) — et — Il ne pouvait pas parler — il était comme paralysé — il était — oh je n’arrive pas à le décrire exactement — je l’ai simplement maintenu et fait attention qu’il ne se cogne pas le tête quelque part et
à un moment, il s’est apaisé, son corps était tout simplement épuisé par tout cela, (par toutes ses convulsions), il s’est ressaisit, a pu se relever, il était encore un peu dans les vapes, il est remonté à l’étage, il a réussi je ne sais comment à gravir l’escalier, et ensuite — oui — il s’est remis mais il était épuisé, il ne voulait plus parler, il était distant, et tout simplement — oui j’ai remarqué qu’il était épuisé, et certainement je n’ai pas été consciente de ce qui lui était arrivé, il a eu besoin de beaucoup de repos et de silence, il a pu dire qu’il allait bien et il ne voulait pas que l’on comprenne (ce qui lui était arrivé) —
et dans la nuit du 25 au 26 novembre, j’ai remarqué qu’il avait un sommeil très dérangé, qu’il avait aussi sué, qu’il avait d’un coup de la fièvre, je ne l’ai pas non plus réveillé parce qu’il avait besoin de se reposer et à un moment, je ne peux pas vous dire à quelle heure, quel moment, et dans l’intervalle de combien de temps mais d’un coup il s’est mis à respirer très difficilement et à haleter et là j’ai commencé vraiment à avoir peur !
Alors j’ai remarqué, maintenant ça ne va plus du tout, — et — je l’ai attrapé et je lui ai demandé ce qu’il y avait et j’ai commencé à lui parler mais au même instant cette sorte de paralysie a commencé à refaire son effet, il n’arrivait de nouveau plus à parler, aussi les crampes étaient revenues, et cette respiration, cette affreuse respiration difficile, il n’arrivait plus à respirer — et — j’ai commencé à crier , je lui ai crier qu’il devait revenir à lui et – qu’il devait me revenir (là elle pleure et on ne comprend pas vraiment ce qu’elle dit, mais quelque chose comme : « comment cela peut être possible » et elle s’excuse et pleure vraiment)

Je me suis mise à pleurer et il a essayé de me consoler (elle pleure)
Il a dit appelle le médecin d’urgence

J’était occupée à regarder pour qu’Andréas pouvait bien respirer, de le mettre dans une autre position pour qu’il puisse respirer plus librement, et il avait toujours plus d’eau dans les poumons, il haletait et n’arrivait pas à recracher ce « truc » j’ai même essayer d’en enlever avec mes mains — soupir —
Le médecin du samu m’a dit au téléphone que je devais mettre en œuvre le gestes de réanimation, et donc je l’ai fait
Mais je n’ai jamais fait un massage cardiaque (ni) d’exercices de respiration, j’ai fait ce que le médecin m’a dit ce qui m’a paru durer pendant des heures ! vraiment ! et —
A un moment son ventre s’est gonflé, le médecin m’a dit alors de ne faire plus que des massages cardiaques, mais je n’y arrivais plus (je n’avais plus de forces), mais j’ai quand même continué
(elle pleure)
Et sont arrivés quelque chose comme six personnes, ou je ne sais plus très bien
Il l’on branché aux machines à ce truc automatique
A cette machine automatique (elle pleure) alors je n’ai plus pu lui parler, il lui mit de truc d’adrénaline et ils avaient tous leur masque tout le temps, je leur ai demandé s’il ne pouvait pas cesser avec ça, vous ne pouvez pas respirer —
(elle pleure)
(un court instant on ne comprend pas ce qu’elle dit)
et puis j’ai demandé s’il vivait encore
(elle pleure)
Ils m’ont dit qu’ils étaient en train de le réanimer
Et apparemment ils avaient réussi à le faire revenir à lui, et donc ils pouvaient à ce moment-là le transporter à l’hôpital
Donc nous sommes partis, et l’infirmier, c’était aussi un hasard, qu’il ait connu le chemin à prendre car il habitait ici en bas dans la vallée
Ensuite nous sommes allés à Wolfsberg, mais je ne pouvais pas rester auprès de lui, car je ne pouvais rien faire et il devait aller dans la salle de réanimation, et je n’avais pas le droit de l’y accompagner
J’ai demandé si j’avais le doit d’aller auprès de lui avant que vous ne le mettiez en salle de réanimation (elle pleure)
Et j’ai demandé leur pronostique (comment ils voyaient son état)
Et ils ont dit : « Oui, on va pouvoir le ramener à lui » et que ça n’avait pas l’air si mal que ça !
Et qu’est-ce qu’il en est, a-t-il des dommages au cerveau ?
Ils m’ont répondu que du fait que j’ai constamment fait des massages cardiaques et que j’ai maintenu sa circulation en activité, il avait de bonnes chances de s’en sortir ! Que ça irait bien ! (elle pleure)
Ils l’ont sorti et je suis allé auprès de lui, j’ai mis ma tête sur son buste, (—) et je lui ai dit que je l’aimais —
Ensuite ils l’ont poussé à l’intérieur, je n’ai pu que m’assoir dehors, je n’ai plus vraiment saisi ce qui arrivait
Et à un moment la doctoresse est arrivée (— un moment pas très audible, pardon)
Et elle a dit que son grand ventricule a complément échoué (était complètement fichu) et qu’il était décédé des suite d’une crise cardiaque !

Une autre personne lui dit :
Beaucoup de gens ont compris qu’il avait été attaqué mais tu penses que c’était une attaque par des rayons, des ondes

Je ne m’y connais pas dans ces choses, pour moi c’est inimaginable comment de telles choses peuvent fonctionner mais il avait toujours dit qu’ils étaient en possession de cette technologie!»

Voilà svp priez pour lui et pour elle. 

Source :

Rédigé par Marguerite Rothe

Publié dans #Revue de Presse

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