Des symboles, comme s'il en pleuvait : JO de Barcelone en 1992, la pandémie génocidaire était déjà dans les tuyaux

Regarder cet extrait vidéo pour la première fois, c'est avoir la confirmation absolue que l'humanité est confrontée à un projet colossal qui vise à son élimination physique à l'échelle planétaire. 

La première fois qu'on voit cet extrait vidéo, on à la confirmation absolue que l'humanité est confrontée à un projet d'élimination d'envergure qui vise à son elimination physique à l'échelle planétaire. Rien de moins. Ce spectacle abominable fait comprendre – à l'entendement révulsé – que les armes biologiques qui servent aujourd'hui étaient en cours d'élaboration sur les paillasses des chercheurs depuis un bon moment déjà. Ces images nous renvoient également à l'information délivrée en 2009 par le docteur Rima Laibow : l'élite projetait de stériliser et d'affaiblir les défenses immunitaires des populations via la vaccination, afin de fortement dépeupler la Terre. Selon ses mots, elle disait qu'entre eux, ils appelaient ça : « The Great culling » ; « Le grand abattage ». Tout simplement effrayant. Des propos, à l'époque, à peine croyable. Treize ans plus tard, ses confidences prennent tout leur sens. Il y a bien un complot contre les peuples. Ce qu’affirmait également la très regrettée Claire Séverac dans son livre : Complot mondial contre la santé. Je vous relaie ces deux vidéos en bas de page.

Ce que j'ai vu, à travers ce spectacle

• Porteurs de feu / de lumière / Lucifer
• Boucliers oblongs verts et masques (public) stylisés africains / frénésie des tam-tam / rituel
•  Apparition d'un très grand robot métallique décharné / IA  / Alien
• Une traînée d'étincelles (Lucifer, toujours) derrière le cyclo-char qui transporte « Hercule »
• Séparation de la vasque olympique en deux « colonnes » judéo-maçonniques

Là où ça commence à devenir étrange, c'est l'entrée en scène d'un parallélépipède argenté, duquel sort rapidement une sorte de grue équipée d'une roue crantée à son extrémité. L'objet est menaçant. Tout autour, les figurants habillés de bleu virevoltent, comme ceux qui sont habillés en blanc ; ils sont sensés représenter une mer ou un océan (Max Igan, quant à lui, interprète cela comme une mer de cellules) Puis, le

Taureau de Wall Street

parallélépipède se métamorphose en galère... Dans un premier temps, elle est attaquée par une paire de cornes géantes, représentation symbolique du veau d'or, de Mammon, de la finance. Puis, c'est la guerre généralisée ; des boules bleues sont entrées dans le spectacle ; hérissées de pique, elles font penser à des méduses, ou quelque chose du genre. Soudain, une chose bizarre, noire, avec des sortes de tentacules surgit. Les hommes et les femmes « en galère » luttent contre elle ; ils luttent aussi contre une boule géante, grise, dont les piques sont agitées par des êtres humains (grimés en gris, ils se confondent avec les moulages des cadavres qui composent la boule/virus/protéine géante). C'est une vision d'horreur.

Ajoutez à cela une musique angoissante, des explosions, de la fumée grise, des cutters ou des scalpels géants qui montent à la charge de la galère, des oiseaux métalliques, décharnés, semblables à des épouvantails d'un autre monde. Enfin, des corps humains ensanglantés sont portés à bout de bras, comme des offrandes sacrificielles. 

Dans ce spectacle, tout n'est que symbolique. Et il nous dit clairement quelque chose. Ces malades mentaux nous montrent le « Great culling » trente ans avant l'heure.

COMPLÉMENTS D'INFORMATIONS 

« Hydra Vulgaris » détectée par le Dr Carie Madej dans l'analyse du « machin » d'un flacon Pfizer

« Le graphène, qui se trouve être 99% des ingrédients dans plusieurs « machins » Covid, est une nanoparticule ferroélectrique. Ajoutez de la chaleur ou de l'électricité et il devient magnétique. C'est pourquoi les « machins » eux-mêmes ne sont pas magnétiques. » (Traduit avec DeepL)

Deux autres courtes vidéos d'expériences sur le même sujet : une avec un aimant, et une autre, avec un téléphone portable allumé/éteint. 

Source

La Une de Saturday le nouveau magasine du "Guardian", 25 septembre 2021

Ici, le journal globaliste veut nous faire croire que Greta est recouverte de... pétrole. Je passe sur le symbole du « n'a qu'un oeil » ; ils en deviennent pénibles, à la fin. Cette mise en scène participe plutôt à une démarche de résonance cognitive ; comme ici, en 2013, Lady Gaga en « Black Goo » ; un peu comme s'ils vous disaient : « Le graphène est substance dangereuse, mais mettez-vous bien dans la tête que vous n'y couperez pas. » Je n'ai pas l'impression de beaucoup exagérer. Bref, on croirait la gamine à la cervelle torturée sortie tout droit du film Venom, plutôt qu'une martyre de l'Écologie – le dernier totalitarisme en date sur cette bonne vieille chère planète. Bien évidemment, c'est un contre-feu, car à la même époque, le lanceur d'alerte Ricardo Delgado Martín, spécialisé en biostatistique, microbiologie clinique, génétique clinique et immunologie en Espagne, et fondateur de La Quinta Columna, déclarait que les « machins » Pfi---zer contenaient de l'oxy----de    de    gra---phène. Un poison. Une arme redoutable, comme nous l'indiquait Andrea Noack, quand il évoquait la substance.

Ces hommes, qui participent activement à la destruction de la planète, tout en se gavant sur le dos de l'humanité comme les parasites qu'ils sont, sont fiers du vide intersidéral de leur intériorité.

Traduction :

« NOUVEAU - Les 10 hommes les plus riches du monde ont doublé leur fortune, passant de 700 milliards de dollars à 1 500 milliards de dollars pendant la pandémie, selon une note d'information publiée avant un sommet virtuel des dirigeants mondiaux qui se tient sous les auspices du Forum économique mondial. »

Est-ce que vous pouvez imaginer le nombre de pauvres gens qui sont morts pendant cette période ? Ceux qui ont tout perdu, les enfants qui se sont suicidés et qui continuent de le faire, les vieillards abandonnés, et qui sont morts de détresse, ou pire encore, qui ont été purement et simplement assassinés au Rivotril. Toutes ces vies détruites, toutes les familles qui ont implosé, tous ces gens qui sont morts faute de soins, toute cette injustice qui s'est répandue et s'est enflammée sur la planète comme une traînée de poudre. 

Ces ordures, et tous leurs larbins corrompus ont les mains pleines du sang de millions d'innocents. Chaque jour, je prie le Ciel pour que justice soit faite. D'une manière ou d'une autre. Sans états d'âme, parce qu'à ce degré d'ignominie, de perversion, et de méchanceté, il n'y a plus une joue à tendre, mais une baffe foudroyante à donner.

©Marguerite Rothe

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