Covid-19 | Le Remdesivir = permis de tuer ; l'hydrocholoquine = interdiction de soigner pour guérir, par le docteur Pascal Sacré

Publié le 27 Juillet 2020

« Le Remdesivir est une molécule coûteuse, propriété d'une compagnie pharmaceutique, Gilead. Dans la course au traitement miracle du COVID-19, Gilead essaie de remporter la palme car cela peut lui rapporter gros [1].

L'Hydroxychloroquine est une molécule libre de droit, passée dans le domaine public et très peu coûteuse. Autrement dit, bien que fabriqué au départ par une compagnie pharmaceutique, Sanofi, ce traitement ne rapportera rien à l'industrie et donc rien à tous les gens corrompus par elle.

Le combat du Remdesivir contre l'Hydroxychloroquine, c'est le symbole du combat de la médecine mensongère, la médecine des gros sous, contre la médecine factuelle, une médecine qui peut rapporter gros au malade (sa santé), sans rien coûter ou presque à la société. » Lire la suite : ici.

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Ajoutons à cela le port du masque obligatoire dans tous les lieux clos, un martèlement quotidien d'un danger inexistant, et voilà que sont dévoilées les intentions malveillantes d'une clique de crapules qui œuvre pour l'établissement du mondialisme ; l'enfer sur Terre. Un monde régi par l'argent, piloté par des êtres sans morale. Un monde où santé et intégrité physique sont prises en otages. Un monde sans foi ni loi, à l'image de Mammon. À mon avis, croire qu'une entité virtuelle dénommée « Q » va nous aider à nous libérer de ces monstres n'est pas plus fou que de croire aux bienfaits du diable.

©Marguerite Rothe

Rédigé par Marguerite Rothe

Publié dans #Santé, #Revue de Presse

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