« On n'enseigne pas à un pourceau à parler », et encore moins à réfléchir
Publié le 6 Mai 2020
Les rois, ce sont Didier Raoult et Luc Montagnier. Et l'arène, c'est la place médiatique où sont jetés en pâture, jusqu'à ce que mort (sociale) s'ensuive, ceux qui refusent de s'aplaventrer devant le système ; ceux qui, comme Raoult et Montagnier, disent la réalité des faits sans torsions ni maquillage.
Le premier a refusé de cacher l'existence d'un médicament efficace et peu onéreux, et le second a expliqué que le virus [covid-19] avait été en partie manipulé en laboratoire (sur le modèle qui est celui de la chauve-souris, avaient été ajoutées par-dessus ce modèle des séquences du VIH.)
Depuis le commencement de la polémique, la chloroquine préconisée par le professeur Didier Raoult est déclarée sans danger par un nombre incalculable de témoignages de médecins (dans le monde entier !) ; quant à la thèse du professeur Luc Montagnier, elle est corroborée ici (anglais) et ici (français) par les travaux d'une équipe de chercheurs indiens.
Et voilà que ces deux hommes, respectables, des sommités dans leur spécialisation, sont insultés, menacés, et traînés dans la boue depuis des semaines par des insignifiants. Par des ersatz de journalistes et de médecins.
Ces vulgaires pourceaux de l'information qui paradent comme des paons sur les plateaux TV à longueur de temps ont perdu tout sens commun.
Expertise level for Didier Raoult : il est tout en haut, simplement parce qu'en recherche virologique, il est l'un des meilleurs au monde.
Quant au professeur Luc Montagnier, son travail a été récompensé à maintes reprises par la communauté scientifique ; la plus prestigieuse étant le prix Nobel de physiologie en 2008.
Passer pour un imbécile aux yeux d’un idiot est une volupté de fin gourmet.
La conspiration doit être inlassablement dénoncée par tous les moyens possibles et imaginables. L'humour et la dérision sont une partie de ces armes. Il fut un temps où l'humour avait ses chevaliers : Desproges, Devos, Coluche, pour les plus incisifs. Se souvenir d'eux, c'est prendre conscience à quel point, depuis leur disparition, nos libertés ont rétréci sous le joug d'une pseudo «élite» qui ne se cache même plus pour revendiquer son satanisme.
©Marguerite Rothe
LE PANGOLIN
Les Misérables, de Victor Hugo (citation – in 1re partie : Fantine)