Un vaccin pour les remplacer tous ?

Publié le 28 Décembre 2021

« SILVER SPRING, Md - Une série de résultats d'études précliniques récemment publiées montrent que le vaccin COVID-19 à base de nanoparticules de ferritine Spike (SpFN) mis au point par des chercheurs du Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR) suscite non seulement une puissante réponse immunitaire, mais pourrait également offrir une protection étendue contre les variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2 ainsi que d'autres coronavirus.

 

Les scientifiques de la Direction des maladies infectieuses émergentes (DMI) du WRAIR ont mis au point le vaccin à nanoparticules SpFN, basé sur une plateforme de ferritine, dans le cadre d'une stratégie prospective "pan-SARS" visant à lutter contre la pandémie actuelle et à constituer une première ligne de défense contre les variantes préoccupantes et les virus similaires qui pourraient apparaître à l'avenir.

« L'émergence accélérée des coronavirus humains au cours des deux dernières décennies et la montée en puissance des variantes du SRAS-CoV-2, dont la plus récente est Omicron, soulignent la nécessité de disposer de vaccins préventifs de nouvelle génération qui confèrent une large protection contre les maladies à coronavirus », a déclaré le Dr Kayvon Modjarrad, directeur de la branche des maladies infectieuses émergentes au WRAIR, co-inventeur du vaccin et responsable du SpFN pour l'armée américaine. « Notre stratégie a été de développer une technologie de vaccin "pan-coronavirus" qui pourrait potentiellement offrir une protection sûre, efficace et durable contre de multiples souches et espèces de coronavirus. »

Les études précliniques publiées aujourd'hui dans Science Translational Medicine indiquent que le vaccin SpFN protège les primates non humains de la maladie causée par la souche originale du SRAS-CoV-2 et induit des réponses anticorps hautement puissantes et largement neutralisantes contre les principales variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2, y compris le virus SRAS-CoV-1 apparu en 2002.

Le SpFN est entré en phase 1 des essais chez l'homme en avril 2021. Les premières analyses, qui devraient s'achever ce mois-ci, permettront de savoir si la puissance et l'ampleur du SpFN, démontrées lors des essais précliniques, seront transposées chez l'homme. Les données permettront également aux chercheurs de comparer le profil immunitaire du SpFN à celui d'autres vaccins COVID-19 déjà autorisés pour une utilisation d'urgence.

« Ce vaccin se distingue dans le paysage des vaccins COVID-19", a déclaré M. Modjarrad. "L'affichage répétitif et ordonné de la protéine de pointe du coronavirus sur une nanoparticule à faces multiples peut stimuler l'immunité de manière à se traduire par une protection nettement plus large. »

[NDT :  Ou, comme nous l'explique Tara Copp, dans son article sur Defense One : « Contrairement aux vaccins existants, le SpFN de Walter Reed utilise une protéine en forme de ballon de football avec 24 faces pour son vaccin, ce qui permet aux scientifiques de fixer les pointes de plusieurs souches de coronavirus sur différentes faces de la protéine. »]

Le WRAIR a mis au point un vaccin candidat secondaire, un vaccin SARS-CoV-2 Spike Receptor-Binding Domain Ferritin Nanoparticle (RFN), qui cible une partie plus petite de la protéine Spike du coronavirus que le vaccin SpFN. Les résultats d'une étude, publiés récemment dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, montrent que ce vaccin offre potentiellement une protection similaire contre un éventail de variantes du SRAS-CoV-2 et du SRAS-CoV-1.

« Le candidat vaccin RFN est plus compact et présente certains avantages naturels dans la mesure où nous essayons d'augmenter la réponse immunitaire contre plusieurs coronavirus à l'aide d'une seule plateforme vaccinale. Il est donc toujours envisagé dans le cadre de notre pipeline de développement de vaccins contre des coronavirus multiples », a déclaré le Dr Gordon Joyce, biologiste structurel du WRAIR et co-inventeur du vaccin.

« La menace que représente le COVID-19 continue d'évoluer, et il y aura éventuellement d'autres menaces de maladies émergentes », a déclaré le Dr Nelson Michael, directeur du Centre de recherche sur les maladies infectieuses du WRAIR« Notre investissement dans le développement d'un vaccin de nouvelle génération est une étape importante pour devancer le COVID-19 et les futures menaces de maladies. »

À propos du vaccin SpFN développé par l'armée de terre

 

Le vaccin SpFN est une plateforme vaccinale à nanoparticules de sous-unités protéiques, ce qui signifie qu'il présente un fragment de virus au système immunitaire pour susciter une réponse protectrice. Le vaccin SpFN comprend plusieurs protéines de pointe du coronavirus liées à la surface d'une nanoparticule de ferritine à facettes multiples. Les chercheurs supposent que la présentation de copies multiples de Spike de manière ordonnée peut être la clé pour induire une réponse immunitaire puissante et étendue. La plateforme présente également des avantages en tant que vaccin potentiellement mondial, car elle reste stable à une large gamme de températures. Cela serait particulièrement utile dans les milieux où les congélateurs ultra-froids sont rares.

Le vaccin SpFN est formulé avec un adjuvant appelé ALFQ, qui fait partie de la famille d'adjuvants Army Liposome Formulation développée par les chercheurs de l'armée au WRAIR. Un adjuvant est un composant d'un vaccin qui aide à activer le système immunitaire et à améliorer les réponses immunitaires. Les études précliniques et les premières études cliniques ont démontré que l'ALFQ est sûr et très puissant en tant qu'adjuvant de vaccin.

À propos du WRAIR

 

Le Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR), qui fait partie de l'U.S. Army Medical Research and Development Command [NDT : L'USAMRDC soutient également l'opération Warp Speed, un effort intergouvernemental visant à accélérer le développement, la fabrication et la distribution de vaccins, de produits thérapeutiques et de diagnostics COVID-19 ici] fournis des capacités de recherche uniques et des solutions médicales innovantes pour répondre à toute une série de défis en matière de protection de la santé et de préparation des forces auxquels sont actuellement confrontés les militaires américains, ainsi qu'aux menaces prévues lors des opérations futures. Le WRAIR a créé un modèle de développement de vaccins et de thérapies qui est unique, souple et réactif à l'évolution dynamique des menaces de maladies infectieuses d'importance militaire. En s'appuyant sur l'expertise, les installations et le réseau international du WRAIR, l'Institut a contribué au développement de nombreux vaccins et médicaments utilisés aujourd'hui par la médecine militaire et civile, partout dans le monde. En 2018, la Direction des maladies infectieuses émergentes a été créée avec pour mission explicite d'étudier, d'anticiper et de contrer la menace croissante des maladies infectieuses émergentes d'une importance capitale pour les forces américaines sur le territoire national et à l'étranger. »  

Ce que j'en pense

 

C'est en faisant un petit tour du côté de chez Les Déqodeurs, que j'ai appris que les chercheurs scientifiques de l'armée américaine étaient sur le point de proposer aux populations un seul vaccin capable de cibler le coronavirus, et toutes ses variantes (et même peut-être le SRAS, une autre maladie à coronavirus dangereuse). L'article qu'ils relayent (en anglais), fournis les indications essentielles, mais bon, comme d'habitude, j'ai fait ma fouineuse.

Ils sont rigolos sur Business Insider – en bas de page –, ils vous disent : « Read the original article on Business Insider » et donc on clique sur le lien, et rien, c'est une boucle... Ha ! Ha ! Bref, à force de fouiller, j'ai fini par trouver l'original ici, et publié ici, en simultané.

Dans l'ensemble, c'est plutôt une bonne nouvelle. Sauf que quand même...

« L'émergence accélérée des coronavirus humains au cours des deux dernières décennies et la montée en puissance des variantes du SRAS-CoV-2, dont la plus récente est Omicron, soulignent la nécessité de disposer de vaccins préventifs de nouvelle génération qui confèrent une large protection contre les maladies à coronavirus »

nous expliquent les auteurs. Ils nous parlent de méchants virus, qui auraient émergé ces 20 dernières années, et de leurs rejetons, les fameux "variants", mais qui sont plutôt, d'après ce que j'ai compris, des "mutants". Ici, ils évoquent l'Omicron. D'accord, mais peut-être qu'Omicron n'aurait jamais montré le bout de son nez s'il n'y avait pas eu d'échappée immunitaire ? Une échappée immunitaire est provoquée par une vaccination de masse faite en pleine pandémie. Si je me trompe, merci de me corriger.

C'est quoi aujourd'hui, cette obsession pour les virus ? On vit avec eux depuis que le monde est monde. Génération après génération, l'humanité s'est construite avec eux ; élaborant du même coup ce qu'on appelle une immunité naturelle. Un mécanisme tellement ancien, que d'y penser donne le vertige. Et aujourd'hui, ces savants fous voudraient remplacer ce merveilleux mécanisme par un truc artificiel ? Clairement, ces gens sont des malades mentaux. Ils se prennent pour Dieu. 

Mon sentiment, sur tout ce qui nous arrive (quand je dis « nous », je pense aux peuples), c'est que nous en sommes arrivés à un stade où les élites sataniques ont définitivement pris le pouvoir dans tous les domaines de la vie. Celui de la recherche médicale a été, et est toujours leur doudou favori. Mais depuis quelques décennies ils ont adjoint  à ce dernier la haute technologie. La biotechnologie.

Ils doivent s'imaginer que grâce à cette recherche, ultra-pointue, ils vont devenir immortels. C'est dire s'ils sont creux comme des calebasses. Dans ce cas on ne parle même plus de misère spirituelle, parce que pour en arriver là, il faut souffrir d'un vide intérieur intersidéral. 

« Notre stratégie a été de développer une technologie de vaccin "pan-coronavirus" qui pourrait potentiellement offrir une protection sûre, efficace et durable contre de multiples souches et espèces de coronavirus. »

Oui, très bien. Et après les souches et espèces de coronavirus, ça sera quoi ? Il y a des milliards de milliards de virus – dans la citation suivante, 36 zéros après le 1 expriment la valeur de 1 sextillion. C'est une bataille sans fin. Autrement dit, une pompe à fric éternelle.

Les virus, a écrit une équipe internationale de scientifiques dans un article publié en 2018, "englobent une grande partie de la diversité biologique de la planète". On estime à 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 de particules virales dans les seuls océans. Pour déterminer le nombre de virus circulant dans l'atmosphère, ces auteurs ont établi deux stations de collecte dans les montagnes de la Sierra Nevada en Espagne, et ont compté les virus. Ils ont constaté, à ces endroits, qu'entre 0,3 et 7 milliards de particules de virus par jour tombaient de l'air sur chaque mètre carré de terre, provenant à la fois de sources terrestres et océaniques éloignées”.

À lire dans l'article d'Arthur Firstenberg : Les preuves s'accumulent

Poursuivant ma lecture, les auteurs de l'article font savoir que le « Le SpFN est entré en phase 1 des essais chez l'homme en avril 2021.», et ils font suivre le lien du ClinicalTrials.gov

Consultant la page, je remarque que sur les 72 inscriptions initiales estimées, il n'y a eu que 29 personnes de retenues. 29 personnes ? J'avais toujours cru que les essais de ces recherches nécessitaient bien plus de participants. De plus, je trouve cela d'une très grande rapidité. Encore. L'armée fait la course avec qui ?

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Terminant mon exploration, je lis que le chercheur principal est le Dr Paul Scott, du Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR) ; or, celui-ci n'est pas cité dans l'article, pas plus que son nom n'apparaît dans la base de données quand on tape celui-ci dans le moteur de recherche du site. Je trouve ça bizarre, mais peut-être que c'est normal, après tout.

« La menace que représente le COVID-19 continue d'évoluer, et il y aura éventuellement d'autres menaces de maladies émergentes », a déclaré le Dr Nelson Michael, directeur du Centre de recherche sur les maladies infectieuses du WRAIR.  « Notre investissement dans le développement d'un vaccin de nouvelle génération est une étape importante pour devancer le COVID-19 et les futures menaces de maladies. »

« En 2018, la Direction des maladies infectieuses émergentes a été créée avec pour mission explicite d'étudier, d'anticiper et de contrer la menace croissante des maladies infectieuses émergentes d'une importance capitale pour les forces américaines sur le territoire national et à l'étranger. »  

Latente pendant tout le 20e siècle, je me demande si la « pandémie » Covidienne n'a pas fait entrer définitivement notre époque dans l'ère de la guerre bactériologique.

©Marguerite Rothe

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Rédigé par Marguerite Rothe

Publié dans #Santé

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